Après une nouvelle petite tragicomédie (1 800 000 électeurs
potentiels environ et seulement un peu plus de 20 000 votants), ce sera finalement
Nathalie Kosciusko-Morizet la candidate UMP à la mairie de Paris. Il suffisait
de regarder la proclamation des résultats par Antoine Ruffenach pour se rendre
compte à quel point cette victoire consternait une grande partie de l’UMP
auto-nommée « la droite forte ». Bon courage NKM car, ces tenants d’une
droite qui pourrait enfin embrasser le FN sur la bouche au vu et au su de tous ont bien compris que la
Mairie de Paris, s'avérerai une belle machine de guerre pour s’emparer de l’Élysée
et faire obstacle au retour de leur père à tous…
Père à tous qui devenait le même jour à Londres un peu plus
l’obligé de la banque qui dirige le monde.
A ce propos, une idée me taraude l’esprit en ce matin de ciel bleu. Qu’est-ce qu’un ex-Président de la République qui a augmenté de 40 % les déficits publics de son pays en cinq ans peut raconter d’intéressant durant une grosse paire d’heures (au point d’être payé 100 000 dollars) à des cadres d’une multi nationale pour laquelle la notion d’État de droit n’est qu’une contrainte qu’elle contourne quotidiennement ? Si quelqu’un connait la réponse, je suis preneur.
L’aspirant Président nous montre au passage, tout comme l’avait démontré Jacques Chirac en son temps, qu’il est meilleur stratège dans la conquête du pouvoir (ou la reconquête) que dans son exercice : images « volées » de rock star s’engouffrant dans une grosse berline, petites séquences floutées et mal cadrées furtivement exposé derrière les glaces d’un palace international, arrivée quasi protocolaire au 10 Downing street… A tout cela, rajoutons un pincée de fiel « off » à destinations d’héritiers putatifs J-F. Copé et F. Fillon « les deux connards » (dixit l’Express) et la mayonnaise commence à monter. Je vous fiche mon billet qu’il sait déjà la tenue que portera son épouse sur le perron de l’Elysée au moment de la passation de pouvoir en mai 2017 et que le discours qu’il prononcera à cette occasion est déjà écrit par… Henri Guaino.
Lequel Henri qui hante les plateaux TV depuis le départ de son boss fait entendre la voix de son maitre. Petit avantage à cette délégation de parole : le langage est plus châtié et à défaut d’un fond acceptable et crédible, la forme écorche moins la langue française.
Lundi aussi, Henri le Masque et la Plume, en a lâché une bien bonne. Il a avoué sur le plateau de l'émission d’Yves Calvi (Fr2 « Mots croisés »), qu'en France, les plus riches ne payaient par leur impôt sur le revenu comme tout le monde, mais qu'ils avaient conquis le droit de le négocier. « Pardon, mais toutes les fortunes de France négocient leurs impôts, vous le savez parfaitement. ».
Une question au passage. Et depuis mai 2012, l’égalité devant l’impôt a-t-elle été restaurée ?
La droite sociale serait-elle morte et enterrée pour de nombreuses années ? Je vais de ce pas découper quelques feuilles de papier A4 vierges pour me préparer un stock de bulletins de votes blancs pour les prochaines élections…
A ce propos, une idée me taraude l’esprit en ce matin de ciel bleu. Qu’est-ce qu’un ex-Président de la République qui a augmenté de 40 % les déficits publics de son pays en cinq ans peut raconter d’intéressant durant une grosse paire d’heures (au point d’être payé 100 000 dollars) à des cadres d’une multi nationale pour laquelle la notion d’État de droit n’est qu’une contrainte qu’elle contourne quotidiennement ? Si quelqu’un connait la réponse, je suis preneur.
L’aspirant Président nous montre au passage, tout comme l’avait démontré Jacques Chirac en son temps, qu’il est meilleur stratège dans la conquête du pouvoir (ou la reconquête) que dans son exercice : images « volées » de rock star s’engouffrant dans une grosse berline, petites séquences floutées et mal cadrées furtivement exposé derrière les glaces d’un palace international, arrivée quasi protocolaire au 10 Downing street… A tout cela, rajoutons un pincée de fiel « off » à destinations d’héritiers putatifs J-F. Copé et F. Fillon « les deux connards » (dixit l’Express) et la mayonnaise commence à monter. Je vous fiche mon billet qu’il sait déjà la tenue que portera son épouse sur le perron de l’Elysée au moment de la passation de pouvoir en mai 2017 et que le discours qu’il prononcera à cette occasion est déjà écrit par… Henri Guaino.
Lequel Henri qui hante les plateaux TV depuis le départ de son boss fait entendre la voix de son maitre. Petit avantage à cette délégation de parole : le langage est plus châtié et à défaut d’un fond acceptable et crédible, la forme écorche moins la langue française.
Lundi aussi, Henri le Masque et la Plume, en a lâché une bien bonne. Il a avoué sur le plateau de l'émission d’Yves Calvi (Fr2 « Mots croisés »), qu'en France, les plus riches ne payaient par leur impôt sur le revenu comme tout le monde, mais qu'ils avaient conquis le droit de le négocier. « Pardon, mais toutes les fortunes de France négocient leurs impôts, vous le savez parfaitement. ».
Une question au passage. Et depuis mai 2012, l’égalité devant l’impôt a-t-elle été restaurée ?
La droite sociale serait-elle morte et enterrée pour de nombreuses années ? Je vais de ce pas découper quelques feuilles de papier A4 vierges pour me préparer un stock de bulletins de votes blancs pour les prochaines élections…
John Lennon a déclaré un jour :
« Je veux de l’argent simplement pour être riche »... Nous sommes en plein dedans.
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