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" SI JE SUIS UN SOT, ON ME TOLERE ; SI J'AI RAISON, ON M'INJURIE. " Goethe.

mardi 7 juin 2011

Eh oui... Pas facile la régle de trois monsieur Luc Chatel !


Mais quel est le cursus universitaire de ce ministre ? Luc Chatel est né dans une famille industrielle haut-marnaise, d'un père amiral et d'une mère professeur de danse. Il passe sa scolarité chez les jésuites, au Lycée Saint-Louis-de-Gonzague dans le 16e arrondissement de Paris. Étudiant à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, il y obtient une maîtrise de sciences de gestion en 1987 puis un DESS de marketing en 1988.

Il s'investit alors dans le syndicalisme étudiant, comme représentant étudiant au conseil d'administration de l'université, président du syndicat étudiant ADEG puis de la junior entreprise " Sorbonne Conseil ". 
Diplômé, il intègre le groupe international de cosmétiques L'Oréal en 1990. Il travaille initialement dans le marketing en qualité de chef de produit, puis aux ressources humaines et devient DRH d'une entité du groupe, poste qu'il occupe jusqu'à son élection à l'Assemblée Nationale, en 2002, après avoir réduit durant quatre ans son temps de travail à 80 % pour s'engager en politique.

( Une fois de plus merci Wiki. ).

5 commentaires:

jeanzyscan a dit…

Pour un ministre ça la fout mal,ce Msieur ne doit pas avoir son certificat d'étude,il doit retourner illico -presto a l'école pour apprendre la régle de trois,son salaire doit étre divisé par trois."Non de Diou de non de Diou"
Kenavo

Anonyme a dit…

Toujours des documents qui égratignent les hommes politiques, sous le couvert de l'humour. Jamais de documents qui égratignent les petits commerçants ou les artisans. On va finir par croire que "Ici Radio K" est un site poujadiste.

L'intervieweur que l'on voit dans ce document est bien connu pour prendre un malin plaisir à poser des questions-pièges destinées à déstabiliser les hommes politiques qu'il reçoit dans son émission. Ca n'a généralement rien à voir avec le thème général de la discussion mais ça fait rire les beaufs, qui ne retiennent bien souvent que ça de l'interview. Et ça fidélise son auditoire, peu exigeant sur les questions de déontologie.

Ce qu'on appelle la règle de trois est un processus mathématique qui a de nombreuses variantes. Elle n'est plus enseignée aujourd'hui comme autrefois. Le problème posé aurait été facilement résolu par un jeune enfant actuellement scolarisé, à qui on a appris à raisonner en termes de proportionnalité. Mais c'était un véritable traquenard pour une personne qui a fait sa scolarité il y a longtemps, à qui on a appris qu'il fallait passer par l'intermédiaire du prix unitaire. Je suis persuadé que l'intervieweur le savait très bien et qu'il avait fignolé son piège de façon très perverse.

Si c'est ça, l'interview politique, ça ne plane pas bien haut…

steph lg a dit…

allez mr IRK trouvez nous un petit article qui démolie les voleurs d'artisans et commerçants pour faire plaisir au "camarade" anonyme !Et attention a vos oreilles de "salop de capitaliste" car vous nous avez récemment démonté que vous viviez de vos rentes de pré-retraité (2°).
Franchement, Mr le courageux anonyme ,vous pensez que vos remarques pitoyables volent plus haut que tout ce qui se dit ici?Vu votre analyse de la situation je pense plutôt le contraire !
Commencez par signer vos billets ,c'est si facile et courageux de faire des remarques sous anonymat!
Concernant le sujet ,piège ou non,,je trouve honteux qu'il n'ai pu répondre a une question si infantile surtout vu son niveau d'études !

Ici Radio Kerhostin a dit…

Poujadisme... Allez, je préfère en rire plutôt que de contre argumenter...

Puisque je suis au clavier : à méditer, une pensée d'un poujadiste avant l'heure...

"... Si nous vivons, nous vivons pour marcher sur la tête des puissants... Car les puissants ne travaillent qu'à marcher sur nos vies... " William Shakespeare.

JPD a dit…

Répondre que 15 objets coûtent moins cher (16,5€) que 10 (22€), règle de trois ou pas, proportionnalité ou pas, quel que soit le motif invoqué pour excuser, c'est un peu fort.
S'il ne se méfie pas il va se retrouver à réduire les effectifs des enseignants en les passant de 800 000 (au hasard) à 900 000!