En tout cas cette troublante question a le mérite d'être posée. D'autant que 130 000 m3 de boue envasant Port Haliguen doivent venir s'ajouter, après les élections cantonales ( tiens, tiens...) doivent venir s'ajouter donc aux centaines de milliers de tonnes en provenance de La Trinité dont le nettoyage n'a pas été réalisé dans des conditions de transparence totale...
Le massacre de la petite mer de Gâvres par Lafarge a été évité par un collectif d'associations Le Peuple des Dunes qui s'est mobilisé pour éviter un désastre écologique...
Un exemple à suivre pour que la Baie de Quiberon ne devienne pas la Boue de Quiberon ?
17 commentaires:
La baie de Quiberon est de plus en plus polluée,les analyses faites cet été révélaient que l'eau était de qualitée moyenne,on ne trouve plus une huitre à la cote,sous les cailoux,plus de petits poisons:Gobies-Loches-Gorlazeaux-Anguilles-Fouets de congres,les Soles-Turbaux-Carrelets-Plies ont disparus.
Il faut savoir que dans les cinqs années à venir,le Préfet du Morbihan à signé avec le Préfet Maritine les opérations suivantes:Environ 1 500 000 métres cubes de boues seront déversées dans la Baie:Citée de la voile et DCN pour les Frégates-850 000 m3-Port-Haliguen:120 000 m3-Port de Vannes:120 000 m3-Port du Crouesty:120 000 m3:Barage d'Arzal:70 000 m3,plus les 120 000 m3 du Port de la Trinité déja déversées:Parmis les projets:Hoédic-Houat.Si l'ont veut que la Baie de Quiberon devienne une mer morte,on ne peut pas faire mieux,une seconde mer d'Aral pour des raisons différentes.En plus c'est l'ancien ministre de l'écologie,jean-lous Borloo qui a donné son accord.
Alors,je conseilerais,à tous les pécheurs,ostréiculteurs,maréyeurs,poisonniers,de se reconvertir rapidement,car dans 5 ans,il sera trop tard,ou alors il faudra vous battre,mais sachant que la raison du plus fort est toujours la meilleure,vous n'avez aucunes chances.
Pour nous consommateurs,plus de poissons frais,il resteras la solution du poisson congelé,importé des pays étrangés et certainement péché dans des zones aussi polluées.Alors pour moi pas question d'en manger.
Kénavo
Dommage que les "crabes" ne soient pas atteints par la pollution qu'ils ont causée!
Quelle irresponsabilité quand même! : Bien que dûment avertis, ils ont poursuivi leur funeste entreprise.
Que dire du silence assourdissant des élus de la presqu'ile qui sont concernés au premier chef et cela en notre nom? C'est de l'inconséquence et de l'incompétence....
Maintenant nous allons subir leur connerie...
Et cela ne les empêchera pas de se représenter aux élections!...
Les "vrais crabes" se mangent entre eux,mais ici nous avons afaire à une espéce différente.Les aires,élus de la Presqu'ile sont bien aux courants et donc responsables.
Quand les estivants déserteront la Presqu'ile,pour se rendre en vacances dans des villes ou le pavillon bleu flotte au vent,il sera trop tard,et tous les gens qui travaillent du tourismes sur la commune en patiront,Hotels,Restaurants,locations meublées.Le taux de chomeurs déja important sur la commune ira en s'amplifiant.La faute à qui?tout simplement à des gens incompétants et irresponsables.
Kenavo
Le milieu marin côtier est de plus en plus pollué. Ce n'est pas propre (si je puis dire !) à la baie de Quiberon. Et l'essentiel de cette pollution est d'origine terrestre.
La mise en suspension de particules provoquée par les clapages ne doit évidemment pas arranger les choses mais il est de plus en plus évident que c'est l'action combinée d'une multitude de facteurs qui est à l'origine des déséquilibres biologiques de nos eaux côtières.
Tous les végétaux et tous les animaux sont concernés et, d'une façon générale, c'est toute la chaîne alimentaire qui s'en trouve affectée.
En gros, pour faire 1kg de poisson carnivore, il faut 10 kg de zooplancton, et pour faire 10 kg de zooplancton, il faut 100 kg de phytoplancton. Pour faire plus simple encore, on peut dire que les grosses bêtes mangent les petites, qui elles-même se nourrissent de petits végétaux.
Et que voyons-nous ? Des tonnes d'herbicides et d'insecticides venues de l'agriculture, qui se déversent annuellement dans nos eaux côtières, exerçant de façon continue leur pouvoir toxique sur le phytoplancton et sur le zooplancton. A cela s'ajoutent tous les polluants issus de l'industrie, qui exercent leur action toxique de façon moins ciblée mais tout aussi néfaste sur l'ensemble de la chaîne alimentaire : divers polluants organiques persistants, métaux lourds etc.
C'est toute la chimie des eaux littorales qui est ainsi affectée. Des microorganismes jusqu'alors rares ou inconnus peuvent ainsi se développer en grande quantité, entraînant des maladies jusqu'alors rares ou inconnues. Alors, on essaie de combattre ces maladies…
Et si on commençait par ne plus prendre les océans pour des poubelles ?
A titre d'exemple, je vous indique un document qui vous permettra de choisir par quelles substances (autres que des toxines produites par des microorganismes) vous préférez vous intoxiquer, lorsque vous mangez des huîtres.
http://wwz.ifremer.fr/var/envlit/storage/documents/parammaps/contaminants-chimiques/index.html
Si vous voulez vous intoxiquer au cadmium, alors mangez des huîtres qui proviennent de la Gironde. Si vous voulez ingurgiter des PCB, alors mangez des huîtres de la Baie de Seine. Mais si vous préférer les effets toxiques du lindane, alors les huîtres du nord de la Bretagne feront l'affaire.
Je dispose du même genre de carte pour les microorganismes marins qui fabriquent des toxines : pour le Dinophysis, la Bretagne est effectivement très bien placée.
Je dispose aussi du même genre de carte pour les polluants accumulés dans la chair des poissons côtiers : si vous voulez vous intoxiquer au mercure, alors n'hésitez pas, mangez du congre ou de la roussette de Bretagne du nord ! A défaut, rabattez-vous d'une façon générale sur le bar de l'Atlantique, il en contient aussi pas mal.
N'oublions pas non plus, parmi toutes ces joyeusetés, les micro-particules de plastique, désormais présentes en grande quantité dans le sable de toutes nos côtes : elles libèrent lentement mais sûrement, dans l'environnement, tous les additifs toxiques qu'elles contiennent.
Alors, oui, c'est vrai, les fonds de la baie de Quiberon tendent à se désertifier. Mais ça ne date pas d'aujourd'hui. Au cours de ces quarante dernières années, j'ai vu, tout comme Jeanzycan, disparaître progressivement la presque totalité de la petite faune que l'on trouvait jadis sur l'estran, à marée basse, entre les rochers.
je suis entiérement d'accord avec Pierre Saint,et malheuresement,i n'y a pas que la presqu'ile de Quiberon qui est touchée,mais toutes les cotes du littoral,Atlantique comme Mer Méditérannée.
Il y a quelques années,le chanteur RENAUD avait écrit une trés belle chanson:"La mer n'est pas une poubelle et pourtant les poissons"B...... dedans"Tabarly,Kersauson,Riguidel,Pajot n'aviguent pas sur des cageots"
Impossible de revenir 50ans en arriére,dommage pour les générations futures.
Kenavo
Quelle est aussi l'influence des PTFE (téflon et autres) micronisés présents dans les peintures marine dites "écolo"?
Il y a des menaces écologiques contre lesquelles la France ne peut évidemment lutter toute seule. C'est le cas, par exemple, du réchauffement climatique ou de l'acidification des océans. Mais ce n'est pas le cas de la pollution de nos eaux côtières, qui dépend pour l'essentiel de ce que notre pays déverse lui-même, passivement ou activement, dans ses ruisseaux, rivières et fleuves.
Il faut donc, lorsqu'on envisage ce qu'on appèle maintenant le développement durable de notre pays, prendre en compte toutes les répercutions de nos activités sur les milieux aquatiques et notamment sur le milieu marin.
Supprimer la mer des attributions du ministère chargé de l'écologie et du développement durable n'est certainement pas une bonne façon d'y arriver.
Un très grand laxisme a d'ailleurs toujours été de mise dans ce domaine, car on veut avant tout ne pas porter atteinte à des intérêts économiques à courts termes.
Ces préoccupations écologiques, même si elles sont mises de côté pour le moment, resurgiront, qu'on le veuille ou non, dans le débat politique national qui aura lieu en 2012.
Les grands thèmes font toujours recette ! et dire que "le peuple des dunes" a évité le massacre de la petite mer de Gâvre, c'est "faire croire" que le sable "la silice" est une matière organique. A Kerhostin il est grand temps de reprendre le chemin de l'école !
Aujourd'hui et contrairement à l'opinion de tous, les alluvions ont toujours existé ! Les déplacer par des moyens modernes, c'est nouveau ! Regardez plutôt, messieurs les marins, vers les stations d'épuration, qui fonctionnent sous votre "nez" 24 heures sur 24 et relachent ce que la sécurité sociale française paye en excédent de médicaments... Le désastre est ici, avec des conséquences totalement imprévisibles ! L'alluvion dénommée "boue" fait rire "les bouseux" !
Au glorieux anonyme qui ne signe pas son post, voici la composition du comité scientifique indépendant qui a émis l'avis défavorable d'exploitation auquel s'est rangé de Préfet. Quitte à proposer aux uns de retourner sur les ban de l'école, autant y aller à deux, on rigolera plus non ?
Membres du Comité scientifique
Présidence du Comité scientifique
Fernand Verger, Professeur émérite, Géographe, Ecole Normale Supérieure, Paris, Membre du Comité scientifique du Conservatoire du Littoral.
Membres du Comité Scientifique
Géomorphologie et dynamique du littoral :
Paul Fattal, Professeur Géographe / Géomorphologue, Institut de Géographie et d'Aménagement Université de Nantes.
Bernard Hallégouet, Maître de Conférence Géographe, Géologue du littoral, Faculté des lettres et sciences sociales, Université de Bretagne Occidentale Brest.
Alain Henaff, Maître de Conférence, Géographe, Géomorphologue, Institut Universitaire Européen de la Mer, Université de Bretagne Occidentale Brest.
Biologie marine :
Jacques Clavier, Professeur, Biologiste, écologie littorale, Institut Universitaire Européen de la Mer, Université de Bretagne Occidentale Brest, Responsable / expert de programmes européens et nationaux de recherche en écologie du littoral.
Jacques Grall, Maître de Conférence Biologie des invertébrés marins, Institut Universitaire Européen de la Mer, Université de Bretagne Occidentale Brest.
Christophe Destombe, Professeur Biologiste, spécialiste des algues, Station Biologique de Roscof.
Claude Beaupoil, Ingénieur de Recherche Ichtyologue Muséum National d'histoire Naturelle / Collège de France, Concarneau.
Pour autant que je saisisse encore ce que j'ai écrit, il me semble n'avoir fait qu'un parallèle entre des deux "affaires" que pour évoquer un éventuel système de défense pour la Baie. Et ne pas voir fait l'amalgame entre causes et conséquences Gâvres Quiberon.
A Gâvres, pour faire court, il s'agissait de la suppression de frayères, du creusement sous marin menaçant les côtes (plus le fond marin est profond, plus le brisant des vagues est élevé)... Ect...
Pour finir...La liste du Comité est disponible ainsi que beaucoup d'autres informations (évitant un retour dès lundi au collège) sur le blog du Peuple des Dunes, accessible dont "aux bouseux" et à tous les autres sans exclusive...
A bon entendeur...
A l'anonyme qui nous traitent de bouseux.Les bouseux de Kerhostin te disent"DIWALDARER",si tu connais le Breton,ce que je doute fort ,tu comprendras,autrement retourne à l'école pour l'apprendre.Reprendre le chemin de l'école n'est pas un déshonneur,ont a tous quelques choses a apprendre,vous le premier,à moins que vous ayez un "QI"exceptionel,ce que je doute beaucoup,vu que vous n'avez pas la franchise de vous exprimer sur votre pseudo.
Kenavo Monsieur X
Les problèmes posés par le clapage de boues polluées en baie de Quiberon n'ont rien à voir avec les problèmes qu'aurait posés l'extraction de granulats (sable) au large d'Etel. Le seul point commun est que, dans les deux cas, on remue des sédiments. Anonyme n'a pas tort de suggérer que c'est ce que font naturellement les tempêtes. Mais ça ne justifie pas qu'on fasse n'importe quoi.
Dans le cas du projet d'extraction du groupe Lafarge, on avait affaire à des sédiments "propres". La principale critique du groupe d'experts qui s'était penché sur le problème avait été que l'extraction envisagée était trop importante (600 000 tonnes par an, soit 18 millions de tonnes sur les 30 ans prévus) et trop proche des côtes, pour qu'on puisse totalement exclure une mobilisation des fonds qui se serait fait sentir bien au-delà de la zone d'extraction, ce qui aurait risqué d'entraîner un recul général du trait de côte.
Dans le cas des clapages effectués en baie de Quiberon, les sédiments sont déversés et non pas extraits et les volumes mobilisés sont considérablement inférieurs à ceux qui étaient envisagés dans le projet du groupe Lafarge. Le problème est que ces sédiments sont reconnus être contaminés par au moins une substance toxique utilisée dans le traitement des coques de bateau : le TBT. Il serait donc préférable d'aller les déposer ailleurs, au minimum sur des fonds plus éloignés des côtes et plus profonds. Mais il évident que le coût financier de l'opération serait considérablement augmenté. Qui est prêt à payer le surcoût ?
Anonyme n'a pas tort de souligner aussi qu'on se mobilise facilement face à des pollutions ponctuelles, bien médiatisées, alors que des pollutions chroniques beaucoup plus insidieuses ne sont pas dénoncées.
C'est vrai que la France a pris beaucoup de retard dans le traitement de ses eaux usées. Dans leur grande majorité, nos stations d'épuration n'arrêtent qu'une proportion infime de nombreux micropoluants aux effets redoutables. Les substances d'origine médicamenteuse en font partie. Il y a parmi ces substances des perturbateurs hormonaux qui ont déjà commencé à affecter de nombreux organismes aquatiques de nos fleuves et de notre littoral. La féminisation des poissons de Baie de Seine en est un bel exemple.
Il faut se faire à l'idée que les médicaments que nous prenons, et que nous éliminons en grande partie par nos urines et nos excréments, vont ensuite perturber de façon considérable le fonctionnement des animaux aquatiques. Une substance comme l'éthinyloestradiol, utilisée par les femmes, dans un but contraceptif, a par exemple un pouvoir oestrogénique plus de mille fois supérieur à celui de substances comme le bisphénol ou les phtalates, provenant des matières plastiques. En d'autres termes, il en suffit de 1000 fois moins pour avoir le même effet sur les animaux aquatiques que des substances d'origine industrielle réputées elles-mêmes oestrogéniques.
Tout cela doit être pris en compte. Et un traitement efficace des eaux usées coûte cher, très cher…
les paroles de la chanson de Renaud:la mer c'est dégeulasse les poissons baisent dedans
Les Stations d'épurations fonctionnent éffectivement 24h sur 24 h.Si elles ne tournaient pas,ce serait encore pire,comme les "Bouseux" de Kerhostin,vous faites partis aussi des pollueurs,et si vous étes si intélligent Msieur l'anonyme,vous avez peut etre une autre solution à proposer,un anonyme est une personne sans personnalité,ce qui semble étre votre cas.
Kenavo
C'est quoi Jeanzyscan?sinon une barriére à l'identité. pour ce qui est de ma personnalité elle est ce qu'elle est et je ne pense pas qu'une personne qui ne me connait pas puisse en juger.Nous sommes tous des pollueurs bien malin celui qui sauvera la planéte car les enjeux économiques sont plus importants que cette terre que nous tuons à petit feu tous les jours .
Pas trop coutumier des blogs presqu'îliens pour ne pas connaitre Jeanzyscan Mister Anonyme ? ? ?
Dès que le vent soufflera
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme, Tatatin
Moi la mer elle m'a pris
Je m' souviens un Mardi
J'ai troqué mes santiags
Et mon cuir un peu zone
Contre une paire de docksides
Et un vieux ciré jaune
J'ai déserté les crasses
Qui m' disaient "Sois prudent"
La mer c'est dégueulasse
Les poissons baisent dedans
(Refrain:)
Dès que le vent soufflera
Je repartira
Dès que les vents tourneront
Nous nous en allerons
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Au dépourvu tans pis
J'ai eu si mal au cœur
Sur la mer en furie
Qu' j'ai vomi mon quatre heures
Et mon minuit aussi
J' me suis cogné partout
J'ai dormi dans des draps mouillés
Ça m'a coûté ses sous
C'est d' la plaisance, c'est le pied
(Refrain)
Ho ho ho ho ho hissez haut ho ho ho
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme
Mais elle prend pas la femme
Qui préfère la campagne
La mienne m'attend au port
Au bout de la jetée
L'horizon est bien mort
Dans ses yeux délavés
Assise sur une bitte
D'amarrage, elle pleure
Son homme qui la quitte
La mer c'est son malheur
(Refrain)
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prends l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Comme on prend un taxi
Je ferai le tour du monde
Pour voir à chaque étape
Si tous les gars du monde
Veulent bien m' lâcher la grappe
J'irais aux quatre vents
Foutre un peu le boxon
Jamais les océans
N'oublieront mon prénom
(Refrain)
Ho ho ho ho ho hissez haut ho ho ho
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prends l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Et mon bateau aussi
Il est fier mon navire
Il est est beau mon bateau
C'est un fameux trois mats
Fin comme un oiseau {Hissez haut}
Tabarly, Pageot
Kersauson ou Riguidel
Naviguent pas sur des cageots
Ni sur des poubelles
(Refrain)
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prends l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Je m' souviens un Vendredi
Ne pleure plus ma mère
Ton fils est matelot
Ne pleure plus mon père
Je vis au fil de l'eau
Regardez votre enfant
Il est parti marin
Je sais c'est pas marrant
Mais c'était mon destin
{Refrain 3x}
Dès que le vent soufflera
Nous repartira
Dès que les vents tourneront
Je me n'en allerons
Merci pour les paroles,mais j'ai le CD.Quant au speudo de jeanzyscan,c'est le fils d'un matelot qui a navigué sur des Thoniers a voiles,sur la mer en furie,il a souvent vomi sont quatre heures,dormi sur des paillasses mouillées,son bateaux c'était un fameux deux mats.Le "VA SANS CRAINTE"
Kenavo
LE PORT jean-yves
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