... Entre jubilations, critiques et coups de menton... On chante... On pousse la chansonnette ! ( Libération ) . Dire que c'est d'un ridicule surréaliste sur le fond et la forme, reste un commentaire faiblard ! C'est un peu comme dans les films burlesques où le réalisateur fait chanter un bêgue au prétexte, que quand il chante, il ne bégaie plus et devient donc plus compréhensible.
Quand on s'attarde sur le texte, je relève cinq mots (ce qui n'est pas beaucoup dans ce texte maladroit), cinq mots qui ne sont pas, ne peuvent pas, ne seront jamais, ne pourront jamais être uniquement de gauche : Liberté, Egalité Fraternité, Laïcité, Solidarité. De même que ces mots ne sont pas, ne peuvent pas, ne seront jamais, ne pourront jamais être uniquement de droite. Ces mots sont les gènes même de notre République. Ils transendent les clivages idéologiques, ils font partie de notre histoire commune. Ils sont la garantie du vivre harmonieusement ensemble.
En revanche, il appartient aux partis politiques de gouvernement de s'approprier les valeurs portées par ces mots, de les mettre en application, et aussi, et surtout de les défendre...
( texte du tube du PS )
3 commentaires:
Après le "sarkogate"
Ceux là, il faudrait leur rappeler les affaires URBA, la MNEF, le RainbowWarrior, le sang contaminé, les histoires de Beyrouth (le Drakkar, Baalbeck...) et plein d'autres encore....
Franchement qui mettre à la tête du pays?
C'est bien la question...à au moins 1 500 milliards d'euros.
A gauche, il est aujourd'hui facile d'apparaître vêtu d'un blanc immaculé. Peu de personnes se rappellent les faits que vous évoquez (hélas). Responsables mais pas coupables... Voila un slogan inventé par une ministre de gauche lamentable mais que depuis toute la classe politique reprend, quand les circonstances le justifie, à son propre compte. Comme aurait dit ma grand mère "Ah pauvre France, si tu voyais tes enfants !"
Je me souviens bien de cet "aphorisme" rendu célèbre par Georgina Dufoix lors du scandale du sang contaminé.
C'était à une époque où j'appartenais à un groupe de personnes à qui la République faisait faire un de ce trucs bien pourris comme elle en a hélas le secret...
Nous avions aussitôt adopté la formule par dérision vis à vis de ce microcosme qui faisait l'objet de notre mépris tout en exécutant ce pourquoi nous étions engagés.
Le gros problème actuellement c'est que le système autorise la mise en place de gens indignes et qui mettent à mal ce pays...
Pour moi, notre Pays est toujours et encore la "Mère des Arts..."
Il y a un nettoyage des écuries d'Augias à faire : mais qui sera Hercule?
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