Il se rebiffe car plus personne ne l'aime ! C’est le triste constat que pose Éric Woerth ! Le château l’a laissé tomber. Fillon ne le connait plus et Baroin l’ignore. Pour se venger, il les a traités d’édredons ! Oh que voici un vilain mot ! Édredons ! J’aurai pas aimé !!! ( Le Figaro )
Ce qui est certain, c’est qu’il ne sait plus trop où il habite notre ex ministre. Sur les ondes de RTL ce matin, il déclarait « être le contraire d'un homme seul et abandonné » pour susurrer dans la foulée au Point : « Ce n'est pas facile de se défendre quand vous êtes... tout seul »
Le concept de la binarité de la solitude vient de s’écrouler dans mon esprit fragile. Erreur 404 ! Un peu comme si une porte pouvait être à la fois ouverte et fermée…Et de rajouter pour faire pleurer dans les chaumières : « Moi, le petit gars né à Creil, j'aurais pu être premier ministre de mon pays, c'est déjà bien. Je ne l'ai pas été, mais peut-être que je le serai un jour. De toute façon, ça se terminera bien. C'est un problème de délai »…
Alors puisqu’on parle « p’tit gars », entendue par un des multiples reporters de Radio Kerhostin dans la salle des colonnes à l’Assemblée Nationale voici une exclue mondiale sans amphigourie aucune :
« … J'aime autant vous dire que pour moi Monsieur Éric avec ses costards tissés en Écosse à Roubaix, ses boutons de manchettes en simili et ses pompes à l'italienne fabriquées à Grenoble, et ben c'est rien qu'un demi-sel. Et là, je parle juste question présentation…. »
En attendant sans doute une déclaration de Madame qui nous dira peut être : « Avec mon mari c'est pas facile à savoir. Il n'était déjà pas causant avant. Maintenant il n'ouvre plus la bouche que pour manger. »
Et pardon à Michel Audiard…
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