La phrase (drôle) du jour...

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Un honnête homme comme Eric Woerth ne songe pas à prendre des précautions parce que la tentation du conflit d’intérêt ne traverse même pas son esprit.

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Qui : Claude Guéant, Secrétaire Général de l’Elysée.

Où : dans le Figaro Magazine de ce week end.

Sur quel(s) sujet(s) : les « affaires » Woerth.

De deux choses l’une. Soit Claude Guéant, se sentant menacé par le remaniement ministériel prévu en octobre (après tout n’est-il pas Premier Ministre Bis ?) prépare sa reconversion et cette phrase annonce sa venue sur France Inter pour remplacer l’humoriste Stéphane Guillon gage de franches matinées d’hilarité à venir. Soit il nous propose une nouvelle version, une version officielle compte tenu de sa position, du conflit d’intérêt qu’il serait ainsi possible de commettre par « omission » voire par obsession de l’intérêt publique.
Soit il nous prend pour des courges…. Non, j’ai écrit de deux choses l’une…

( Marianne )