Et "on peut à la rigueur ne pas être politiquement correct, à condition de ne pas viser le pouvoir. C'est le cas de Le Pen, qui était toléré, accepté et dont on s'est servi", a-t-il poursuivi.
"Mais ne pas être politiquement correct et rechercher le pouvoir, ça c'est l'interdiction totale, le mur absolu auquel je me suis heurté", a-t-il dit. Et oui Nobru, c'est au pied du mur que l'on voit le mieux le mur.
Mégret que son ancien chef F.N. avait surnommé "Naboléon" au moment du schisme a gardé le mystère sur la "grande entreprise française" pour laquelle il doit désormais aller travailler à l'étranger, et sur son pays de destination. J'espère seulement qu'il n'y part pas comme D.R.H...
Nobru a précisé qu'il partait "pour de nombreuses années" ("Le Mégret est semblable au prince des nuées, Exilé au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher"...Houarff, houarff, houarff...), mais a refusé d'exclure totalement un retour un jour à la vie politique. C'est beau de croire encore au père Noël à son âge non ?
Et pardon à Charles Baudelaire...
2 commentaires:
Quand on voit ce petit bonhomme aigri, on se demande comment il a attiré la confiance d'autant de gens.
Bon débarras...
Même avec des excuses, je ne sais pas si Baudelaire pardonnera... A ta place et tant qu'à faire de citer Baudelaire j'aurais plutôt choisi "La Charogne" comme référence.
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