Cette fameuse rencontre, je vous en avais parlé il y a quelques mois. Il s’agissait du premier roman de Caroline Moreau.
Eh bien aujourd’hui, en allant faire mon marché hebdomadaire à Saint-Pierre, j’ai rencontré de nouveau Caroline, sagement assise sous un grand parasol (qui pourrait aussi servir de parapluie en cette fin tristounette de septembre). Elle proposait ses ouvrages, édités à compte d'auteur, aux chalands. Chapeau bas, Miss ! Je suis bien trop fainéant pour faire la même chose pour promouvoir mes polars…
L’auteur nous soumet aujourd’hui sa deuxième œuvre, un recueil de poésie intitulé « Surimpressions quiberonnaises » et pour ceux qui n’ont pas encore lu « Quand un Rossignol rencontre une Rivière », il est encore temps de le faire…
Comment ? En vous rendant à la librairie de Port Maria ou sur les marchés de Quiberon le samedi, Auray le lundi, Vannes le mercredi, Saint-Pierre Quiberon le jeudi.
Et si vous avez la flemme, aucune excuse, Caroline dispose même d’un petit site internet où vous pourrez passer commande? C'est I C I
Alors plus aucune excuse pour ne pas encourager un de nos talents presqu’ilien !!!
2 commentaires:
Merci Pierre pour ce deuxième article sur votre blog si intéressant, je n'avais pas encore cliqué sur le lien croyant avoir de nombreuses manips à faire et me remettant difficilement d'une grippe, qui finalement me pose sur un autre rythme. Je vais bientôt lire votre premier livre, je tarde, mes finances sont encore grises comme le temps, de plus en plus à vrai dire, mais elles le furent déjà et à plusieurs reprises. A bientôt peut-être sur notre chère/maudite presqu'île.
P.S. Même si le roman et la poésie plaisent à la majorité de ceux qui prennent le temps de les lire. D'autres s'interrogent ou se choquent. Et pour le reste, je ne sais pas, essaie de traduire les regards et mimiques.
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